Merci fana pour la confiance, la prod est fat le stylo fume direct Pour te prouver que j'y met de l'âme, il me faut pas plus de dix lettres J'ai passé l'âge de faire la caille, je préfère me terer tout seul Ça fait un bail que je rêve plus balle, barca et leverkusen Flemmard et discret sur ma vie, je changerai pas de fusil d'épaule Moins benabar que goldman, quand la musique est bonne J'ai rien construit, mais les fondations sont en béton pétasse Remballe ton string et ton équipe, toute façon tes sons me dépasse J'écris sans pressions, mise à part celle qui remplit ton grand fût Trop pessimiste sur ce monde, t'est gentil on t'enfume Depuis l'époque des pogs, des chaussures à scratchs J'ai vu des hommes se casser les dents, à faire les chaud sur l'asphalte Très loin des hits et de leurs sons, sponsorisé par le sheitan Dans les oreilles je me mets du mysa bukowski ou fayçal On fait ça tranquille, avec l'énergie d'un somnambule Mais mon équipe reste soudé, quand tout les autres s'encule. V'la encore un son, qui fera pas kiffer les moins de vingt balais Les gars qui zappe le fond, pour exhibé leurs corps de gringalet Demande à mes comparses, j'en ai rien à ciré de ces gars balourd Je m'en tape de ce que t'en pense, la zik moi je fait ça par amour J'aime quand le texte sonne, venez pas me parlez bijoux textiles Tu rêve de bête de sommes, arrête le rap et loue des jetskis Dans leurs clips, tu vois plus de meufs en bikinis qu'un maître nageur Du coup les petits s'en inspirent, bien avant d'être majeur Aucun scrupule, ça se la raconte et manipule la jeunesse J'aurai les deux pieds dans la tombe, bien avant que cela ne cesse Que nous cachent t'ils encore, leurs discours sonnent faux Dirigez par des billets verts, contrôler par des John doe Il y a pas que les rappeurs, ou la musique qui nous mène en bateaux Regarde en haut de la pyramide, tu comprendra ton fardeau En attendant je te souhaite le meilleur, et je t'envoi du love Car j'ai peur pour ton avenir, quand je vois ce que tu gobe.

Il t’as dis d’y croire hein… T’as répondu enfoiré L’oiseau est rare, pour l’entendre c’est pareil. Tu lui as dit j’y vois rien il t’as dis j’entend tout Fais confiance, la ou je traine le vent souffle. Les prédateurs ont grande bouche Et quoi qu’ils pensent tous Attéris pas sur le banc de touche. T’as pas d’aile frères, ça sert à rien de voler, À vol d’oiseaux sur terre ferme on va le faire au mieux Gare à la chute et au truc qui intercepte, T’auras la suite que si tu joue la fin de scène T’auras des obstacles, des bandages et pleins d’haine D’où je viens l’orage craque même les grands arbres s’inquiètent Prépare tes synthèse sur le monde pour les réfuter T’as grandi t’es plus ce gamin prépubère Eh bé c’est pareil demain et encore après Vas y profites de l’aprem parait que ce soir ça grêle. À Trop chercher la branche t’as perdu de vue l’oiseau Celui qui a dans ta poitrine et qui te dis crois y. Vas y crois y fonce, crois y fonce, choisis ton positionnement Fais le follement, qu’on trinque avant que les glaciers fondent Vas y crois y fonce, pas d’réponse vas y force Pas de réponse? C’est que tu criait pas assez fort. On t’as sorti du lit pour moins que ça Eh ouais les mouettes ça crie fort et 6 du mat c’est bien tard Faut te lever et faire ton tas de conneries, Tant que tu le vois comme ça T’auras pas bonne mine N’oublie pas que d’où je viens les fusils me stressent Trois de mes cousins ont finis sur le pare brise d’un easy jet Face à la tornade j’suis qu’un piaf, mais je reste bien stable Mes plumes un blindage, je t’en donne une t’en pleins pas. Si tu réfléchie un peu sûr tu sais comment faire Vous avez su faire du feu, tu apprendras à l’enlever, Tu sais pas comment ça marche mais tu sais qu’on s’en sert Moi j’ai compris tout ça juste après m’être élancé. À Trop chercher la branche t’as perdu de vue l’oiseau Celui qui a dans ta poitrine et qui te dis crois y. Vas y crois y fonce, crois y fonce, choisis ton positionnement Fais le follement Vas y crois y fonce, crois y fonce, choisis ton positionnement Fais le follement Assis sur la branche j’attendais l’oiseau, Celui qui vient des grands airs et qui me dis crois y Au moins j’avais le temps oui j’observais la zone Et si l’oiseau ne viens plus on continue de grandir Assis sur la branche j’attendais l’oiseau, Celui qui vient des grands airs et qui me dis crois y Au moins j’avais le temps oui j’observais la zone Et si l’oiseau ne viens plus on continue de grandir Vas y crois y fonce, crois y fonce, choisis ton positionnement Fais le follement